1er septembre 2016

Les résidents des quartiers Notre-Dame et Rivière-du-Moulin ont maintenant un lien direct entre eux via le nouvel escalier du Parc Armand-Demers, un investissement de plus de 20 000$ réalisé par la conseillère municipale Josée Néron. Cette nouvelle installation, dont les travaux ont été exécutés sur une période de deux ans, permet en plus aux résidents du quartier Notre-Dame d’avoir un accès à l’entrée nord du Parc de la Rivière-du-Moulin.

Inauguré en présence de membres du comité de quartier Notre-Dame et de l’organisme Eurêko!, l’escalier est une initiative citoyenne du comité de quartier et de la corporation du foyer Notre-Dame, a rappelé Josée Néron. «Ce projet a été demandé par les résidents, d’après une idée d’un citoyen du secteur. Il y avait un sentier à cet endroit, mais il était très escarpé et la pluie le rendait très glissant, voire impraticable. Nous avons approché l’organisme sans but lucratif Eurêko! pour qu’il nous propose des aménagements. Le coup d’envoi des travaux a été donné en 2015 pour une première série de marches, et nous avons complété une autre série en 2016. Nous prévoyons pour 2017, si les budgets sont au rendez-vous, compléter le tout afin de faciliter l’accès sur toute la pente», explique la conseillère municipale.

Josée Néron s’est dit enchantée du résultat, estimant qu’il répond aux besoins de la population, en plus d’être éco-responsable. «Nous avons dû couper du bois pour avoir accès au sentier. Eurêko! nous a proposé d’utiliser le copeau issu de ce bois pour faire le lit du sentier. Ce matériau a été donc été obtenu en diminuant le plus possible son empreinte écologique, et de surcroit, à coût nul. On peut à la fois être vert et ne pas coûter cher», rapporte-t-elle.

Josée Néron croit que ce genre de travaux doit donner le ton en ce qui concerne le développement de Ville de Saguenay. «Nous voulons une ville verte et une ville au cube, c’est-à-dire qui facilite et favorise l’activité physique par l’implantation de milieux favorables aux saines habitudes de vie. De plus, ce projet est en est un de participation citoyenne. Ce sont les citoyens qui l’ont imaginé et porté, avec la collaboration de leur élue municipale», conclut Josée Néron.

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